Dans son long métrage documentaire, Ariane Astrid Atodji nous parle de son père, qui a quitté précipitamment son pays natal, le Bénin, pour le Cameroun 40 ans auparavant, sans jamais y retourner, laissant femme et enfant derrière lui.
Elle raconte : « Les raisons, je ne peux plus les ignorer. Quelle(s) identités ? Quelle(s) origine(s) ? Ce n’est pas retourner aux sources, mais comprendre mon histoire… l’Histoire. » Une recherche de sincérité et de sérénité touchante.
Dans le cadre de la Semaine cinéma d’Afrique du 28 février au 7 mars, conçue en partenariat avec l’association Chambéry-Ouahigouya et le FESPACO (Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou). Le Curial s’habille aux couleurs de l’Afrique, soirée de clôture : restauration africaine, ciné-goûter (jus de bissap !), ateliers…
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