La vie secrète des vieux

Mohamed El Khatib / Zirlib

théâtre

13 ans +

1:10

25 / 12 réduit / 8 – 15 ans / 18 carte malraux

MA 08 AVR 20:00

ME 09 AVR 20:00

espace malraux

grande salle

La fin de la vie signifie-t-elle la fin de l’amour ? Nos dernières années font-elles des déserts de nos désirs ? Accueilli de nombreuses fois à Malraux, Mohamed El Khatib nous étonne à nouveau avec cette fiction documentaire. Il est parti à la rencontre de nos aînés, de nos anciens ou, moins pudiquement, de nos vieux et vieilles, et ensemble ils ont parlé d’amour. Aujourd’hui, sur scène, ils sont huit, âgés de 76 à 101 ans, pour partager ces récits soigneusement recueillis. Ils brisent le tabou de la sexualité chez les personnes âgées et dessinent avec humour et tendresse un paysage amoureux du troisième âge (et au-delà !).

LA PRESSE EN PARLE

« Le spectacle puise sa force dans une irrésistible fragilité, celle d’hommes et de femmes qui jouent de leurs faiblesses, s’en moquent, tout en créant d’autres façons d’aimer. »

Le Soir, Catherine Makereel

« La vie secrète des vieux, édifiante, drôle, et d’utilité publique. »

La Libre Belgique, Aurore Vaucelle

Création

Mohamed El Khatib conception et réalisation

Annie Boisdenghien, Micheline Boussaingault, Marie-Louise Carlier, Chille Deman, Martine Devries, Jean-Pierre Dupuy, Jacqueline Juin, Salimata Kamaté, Jean Paul Sidolle, Yasmine Hadj Ali jeu (en alternance)

Camille Nauffray dramaturgie et coordination artistique
Fred Hocké scénographie et collaboration artistique
Emmanuel Manzano vidéo
Arnaud Léger son
Jonathan Douchet régie générale
Mathilde Chadeau collaboration
Vanessa Larré, Marie Desgranges, Zacharie Dutertre entretiens
Gil Paon et Sylvia Courty direction de production

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Production Zirlib

Coproduction Festival d’Automne à Paris ; Points communs – Nouvelle scène nationale Cergy-Pontoise-Val d’Oise ; Théâtre National Wallonie-Bruxelles ; La Comédie de Genève ; Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine ; Théâtre national de Bretagne – Rennes ; Tandem Scène nationale – Arra Arras-Douai ; La Comédie de Clermont-Ferrand scène nationale ; Théâtre Garonne Scène européenne (Toulouse), Festival d’Avignon, Théâtre du Bois de l’Aune (Aix-en-Provence), Équinoxe Scène nationale de Châteauroux, Théâtre de la Croix-Rousse (Lyon), La Coursive Scène nationale de La Rochelle, Espace 1789 – Saint-Ouen, Théâtre de Saint-Quentin en Yvelines Scène nationale
Accueil en résidence : Mucem, Le Channel – Scène nationale de Calais, la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon – Centre national des écritures du spectacle.

Zirlib est conventionnée par le Ministère de la Culture – DRAC Centre-Val de Loire et soutenue par la Ville d’Orléans.
Mohamed El Khatib est artiste associé au Théâtre de la Ville à Paris, au Théâtre National de Bretagne à Rennes et au Théâtre National Wallonie-Bruxelles.

Découvrez la critique du spectacle dans l’émission Les Midis de Culture sur France Culture du lundi 09 septembre 2024.

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Samedi 14 septembre, Mohamed El Khatib était l’invité de Nicolas Herbeaux dans Les Matins du Samedi sur France Culture.

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Auteur, metteur en scène, réalisateur et plasticien, Mohamed El Khatib développe des projets à la croisée de la performance, de la littérature et du cinéma. À travers des épopées intimes et sociales, il multiplie les occasions de rencontres entre l’art, et celles et ceux qui en sont éloignés.

 

Après Moi, Corinne Dadat, qui proposait à une femme de ménage et à une danseuse classique de faire un point sur leurs compétences, il a poursuivi son exploration de la classe ouvrière avec la pièce monumentale STADIUM, qui convoque sur scène 58 supporters du Racing Club de Lens. Avec des enfants de parents divorcés, il s’est interrogé́ à la radio et à l’écran sur ce que la famille peut produire comme récit. Avec l’historien Patrick Boucheron, il a dessiné une histoire populaire de l’art au travers de la boule à neige.

Parallèlement à ses projets pour la scène, Mohamed El Khatib a développé́ une recherche plastique en collaboration avec plusieurs artistes. En Savoie, aux côtés de Valérie Mréjen, il a initié́ la création du premier centre d’art en Ehpad, LBO. À la Collection Lambert à Avignon, il a imaginé́ une exposition sentimentale en réunissant des commissaires précaires de la Fondation Abbé-Pierre et des membres du personnel du musée.

 

Au Mucem, il a créé l’exposition monumentale Renault 12, inspirée des voyages en voiture des familles franco-maghrébines.

 

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