Birds on a Wire

Rosemary Standley, Dom La Nena

ME 02 AVR

20:30

espace malraux

grande salle

Quel plaisir de retrouver Birds on a Wire, ce duo sur un fil, voix et violoncelle, composé de Rosemary Standley et Dom la Nena. Pour ce nouveau spectacle, elles ont choisi d’entrelacer leur univers à celui d’Étienne Saglio, maître de la magie nouvelle (Le bruit des loups, Goupil et Kosmao, Projet Fantôme). Complice artistique de l’aventure, il partage un même sens du mystère et de l’onirisme, de l’enchantement et de l’imaginaire. Le duo se posera quelque part au cœur d’une forêt profonde pour nous faire découvrir les morceaux de son nouveau spectacle. On y retrouvera un peu des contes de Grimm et aussi des chansons de Bob Dylan, Tom Waits, ou encore Jacques Brel, et même des ritournelles venues d’ailleurs… parfois de très très loin !

Distribution

Dom La Nena violoncelle, chant
Rosemary Standley

voix et harmonium

Étienne Saglio scénographie et complicité artistique

Olivia Burton dramaturgie

Benjamin Gabrié décor
Simon Maurice effets magiques
Anne Muller et Alexandre Dujardin création lumière
Anne Laurin création et régie son
Arnaud Bréhault régie plateau

Marie Cherprent Boisteau régie générale

Sarah Eger régie lumière

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Production La Familia

Avec le soutien en résidence de création du : Théâtre Les 3 Chênes – Loiron-Ruillé Centre Culturel Jacques Duhamel – Vitré Bonlieu – Scène nationale d’Annecy

Avec le soutien du CNM, de la SACEM et de la SPEDIDAM

“L’alchimie est immédiate : dès la première répétition domine l’impression qu’on a affaire là à deux sœurs qui auraient passé leur jeunesse à jouer de la musique dans la même chambre, le soir, à la lueur d’une lampe de chevet.”

FIP

“Le duo fait planer un esprit baroque sur Tom Waits, Caetano Veloso ou Fairuz. Et enchante par sa sobriété et son raffinement.”

TELERAMA

“Musique de chambre à deux lits jumeaux, où voix et violoncelle chuchotent des berceuses en apesanteur pour petits et grands. Des chansons comme des nids légers et duveteux, construits par des oiselles voyageuses.”

LES INROCKS