Après une expérience sexuelle, Jay se retrouve confrontée à d’étranges visions et l’inextricable impression que quelqu’un, ou quelque chose, la suit. Entourée de ses amis, elle tente d’échapper à la menace…
Ludique, inventive et puissante, la mise en scène de David Robert Mitchell se déploie tout au long de cette œuvre personnelle angoissante. Avec ce sens imparable du hors-champ, on pense au cinéma de Jacques Tourneur, mais également à celui de John Carpenter et à La Nuit des morts-vivants… Une claque visuelle et cérébrale qui nous offre de magnifiques frissons.
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