Dans un compartiment de chemin de fer, Snaporaz sort de sa somnolence pour séduire une belle inconnue. Il la suit à travers la forêt jusqu’à un hôtel fantasmagorique où se tient un congrès de féministes… La filmographie de Fellini est illuminée par de multiples figures féminines fantasmées. Dans La Cité des femmes, celle du séducteur est ridiculisée avec saveur. Mastroianni, grisonnant et infantile se perd dans des déambulations effrayantes et galvanisantes. On se laisse glisser dans le toboggan délirant du maestro !
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