Rome, 1950. Fonctionnaire à la retraite, Umberto ne parvient plus à subvenir à ses besoins. N’ayant pour seul refuge qu’une pension en piteux état, le vieil homme occupe ses journées à trouver de quoi manger avec pour seul compagnon son chien Flike…
La détresse captée comme jamais par le réalisateur du Voleur de bicyclette dans un chef-d’œuvre du néoréalisme (présenté à Cannes en 1952). « Umbero D. est la plus grande réussite de De Sica, un grand film sur un héros du quotidien. C’était le précieux cadeau de De Sica pour son père. Et pour nous. » Martin Scorsese
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