Durant la Première Guerre mondiale, un jeune soldat blessé, a perdu ses bras, ses jambes et toute une partie de son visage. Il ne peut ni parler, ni entendre, ni sentir mais reste conscient et se souvient de son histoire.
Tiré du roman éponyme de son réalisateur Dalton Trumbo, Johnny s’en va en guerre dénonce avec véhémence mais aussi une incomparable justesse, cette première Grande Guerre qui s’enlise dans la boue des tranchées. Trumbo nous offre une expérience cinématographique rare, cruelle et dure, où le sens du mot « Humanité » est souvent bafoué. Un choc récompensé à Cannes en 1971 par le Prix du Jury et le Prix de la Critique Internationale.
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