Nathan Detroit, propriétaire d’un tripot new-yorkais a un besoin urgent d’argent. Il propose un pari à Sky Masterson, un joueur invétéré…
Seule incursion de Mankiewicz (Eve, L’Aventure de Mme Muir) dans la comédie musicale. Il bouleverse les codes à coups de dés avec audace. Bien aidé par l’immense Michael Kidd pour les chorégraphies, il dynamite tous les clichés mièvres du genre. Marlon Brando, déjà mafieux, danse et chante… et c’est magique !
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Théâtralité poussée jusqu'à l'abstraction
Blanches colombes et vilains messieurs n’est certes pas le plus grand film de Joseph L. Mankiewicz, dont on associe plus volontiers le génie à de sublimes portraits de femmes (L’Aventure de Mme Muir, Eve, La Comtesse aux pieds nus) ou à l’intelligence retorse d’une parole habile (L’Affaire Cicéron, On murmure dans la ville), mais c’est assurément l’une des plus curieuses comédies musicales hollywoodiennes des années 1950.
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